Dernières de Yemeni Press


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Un nouvel attaquant débarque au Lausanne-Sport
Le LS a annoncé l'arrivée en prêt de Gaoussou Diakité. Il débarque du RB Salzburg. Publié aujourd'hui à 12h28 Gaoussou Diakité a également disputé quelques rencontres amicales avec le RB Salzburg, IMAGO/Fotostand Deux jours après l'arrivée de Nathan Butler-Oyedeji , le Lausanne-Sport a annoncé ce vendredi la signature de Gaoussou Diakité. L'attaquant de 19 ans est prêté jusqu'au terme de la saison par le RB Salzburg. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Déjà un match amical Formé au Mali, Diakité a rejoint l'Autriche en janvier 2024, où il a principalement joué du côté de Liefering, équipe satellite du RB Salzburg, en 2e division autrichienne (2. Liga). En 34 rencontres, le Malien a inscrit 13 buts et délivré 7 passes décisives. Il est capable d'évoluer à tous les postes de l'attaque: tant à l'aile qu'en pointe ou en soutien de l'attaquant. Dans son communiqué , le Lausanne-Sport souligne «sa capacité de dribble, son explosivité et son sens du but». Il s'est d'ailleurs déjà mis en évidence ce vendredi, lors d'un match amical contre le FC Bulle . Le nouveau numéro 70 de la Tuilière a disputé les 45 premières minutes de la rencontre. «Il ne s'est pas encore entraîné avec le groupe, mais on a pu voir son talent et son potentiel. Il est technique, intelligent dans le jeu. À nous maintenant de le gérer pour qu'il s'intègre au mieux, tant physiquement que tactiquement», a déclaré son nouvel entraîneur Peter Zeidler à l'issue de la rencontre amicale. Davantage sur le Lausanne-Sport Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


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Découvrez l'exploit des soeurs Vergé-Dépré au tournoi de beachvolley à Gstaad
Les Bernoises ont battu samedi Tanja Hüberli et Leona Kernen pour atteindre les quarts de finale du tournoi Elite16 à Gstaad (BE). Publié aujourd'hui à 12h27 Anouk Verge-Depre et Zoe Verge-Depre de Suisse célèbrent une victoire au tournoi de volleyball de plage à Gstaad, le 5 juillet 2025. KEYSTONE/Anthony Anex Anouk et Zoé Vergé-Dépré ont gagné le derby suisse au tournoi Elite16 à Gstaad. Les soeurs ont battu Tanja Hüberli et Leona Kernen 21-18 21-15 pour atteindre les quarts de finale. Les Vergé-Dépré, qui évoluent ensemble depuis le début de la saison, ont ainsi confirmé leur bonne forme. Les Bernoises ont notamment été excellentes au bloc et ont commis moins d'erreurs que leurs adversaires. «Nous étions bien concentrées et avons su ne pas nous prendre la tête quand quelque chose tournait mal. Il faisait très chaud. Maintenant, il faut récupérer et beaucoup boire», a expliqué Anouk Vergé-Dépré . La paire suisse disputera son quart de finale en fin d'après-midi. Davantage sur les soeurs Vergé-Dépré Newsletter «Euro 2025» Vous ne voulez rien rater de l'Euro? En vous inscrivant à cette newsletter, vous serez informé·e à temps des performances de l'équipe de Suisse et des grands moments de cette compétition. Autres newsletters ATS Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


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Les joueurs de Liverpool présents à Gondomar pour la cérémonie funèbre de Diogo Jota et son frère André Silva
L'équipe des Reds, emmenée par son capitaine Virgil Van Dijk, s'est rendue au Portugal pour la cérémonie funèbre de Diogo Jota et son frère André Silva à Gondomar, ville d'origine des deux joueurs dans le nord du pays. La délégation de Liverpool est arrivée une bonne demi-heure avant le début de la cérémonie à l'église de Gondomar, ce samedi, en l'honneur de Diogo Jota (28 ans) et son frère André Silva (25 ans), décédés dans la nuit de mercredi à jeudi dans un accident de voiture en Espagne. En tête figuraient Virgil Van Dijk et Andrew Robertson portant une couronne de fleurs rouges avec le numéro 20 et le numéro 30 en hommage aux deux jeunes hommes. Villas-Boas rend hommage à Diogo Jota et son frère


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De Neil Young à Saint Levant, le Montreux Jazz à l'épreuve de la politique
Accueil | Culture | Festivals | Fronde anti-Trump pour l'un, poing levé propalestinien pour l'autre. Dans un monde en crise(s), la neutralité affichée du MJF devient une partition virtuose. Publié aujourd'hui à 12h20 Ayant grandi à Gaza, le rappeur franco-algérien Saint Levant ne fait pas mystère de son soutien inconditionnel à la cause palestinienne. IMAGO/GONZALES PHOTO En bref: Dans l'Amérique de Trump saison 2, la plus alerte opposition issue du monde musical est venue d'un homme de 79 ans jouant sur une Gibson ancestrale des odes à la révolte nées il y a un demi-siècle. Son nom est Neil Young, il arrive au Montreux Jazz en légende, dimanche 6 juillet. Qu'il s'avance seul ou presque face au président honni en dit beaucoup sur l'état de la contestation politique aux États-Unis de la part des stars pop désormais exsangues, muettes ou soumises. Qu'il soit accueilli en tête d'affiche et vedette incontestable de la 59e édition en raconte cependant peu sur la nature politique du festival créé par Claude Nobs en 1967, l'année de toutes les utopies. Festival d'émancipation Sur la Riviera tranquille de ces années-là, inventer un rassemblement de jazz international était déjà une révolution en soi, qui n'avait pas besoin du handicap supplémentaire de s'affirmer ouvertement engagé. Le MJF est un lieu de fête aux convictions progressistes intrinsèques – les plus efficaces, car invisibles. En invitant dès ses premières éditions des musiciens noirs américains de jazz et de blues , en leur offrant un gîte royal et un retentissement planétaire là où le circuit européen des clubs les exploitait trop souvent, le bébé de Nobs a joué un rôle éducatif et émancipateur sans jamais brandir de drapeaux. Idem lorsqu'il fit tôt jouer les hérauts pop qui déculottaient les conventions anciennes à larges coups de guitares électrifiées. «Le Montreux Jazz est une manifestation publique avec une certaine neutralité, pour parler en termes suisses, concède le directeur actuel, Mathieu Jaton. Mais dans un monde aux enjeux sociétaux et géopolitiques toujours plus tranchés, les festivals deviennent des caisses de résonance très médiatisées où toujours plus d'artistes sont tentés de faire passer des messages. Cela peut rendre notre mission, qui est d'organiser un rassemblement de musique apolitique, un tout petit peu compliquée…» Fin juin, le groupe anglais Bob Vylan a ainsi vu ses visas d'entrée aux États-Unis annulés après avoir fait chanter à la foule de Glastonbury « death, death to the IDF! » (ndlr: Israel Defense Forces). Le principal rassemblement britannique s'est désolidarisé du groupe punk en le taxant carrément d'antisémitisme. L'été des festivals s'annonce chaud. En juillet dernier, le collectif trip-hop Massive Attack a mis le feu au lac avec, en arrière-fond, les images de Gaza bombardé. KEYSTONE /VALENTIN FLAURAUD L'an passé au MJF, la prestation de Massive Attack sur le Léman mélangea durant deux heures, dans une égale déflagration de sons et de lumières, musique et manifestes propalestiniens. Rien ici d'étonnant de la part du groupe de Bristol, dont la composante politique fait partie de l'ADN depuis ses débuts en 1988. Mais un concert à part dans la ligne neutre du festival, qui reçut une poignée de plaintes en retour – un nombre minime, mais inédit concernant une thématique politique. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Et cette année, Neil Young. Contrairement à Massive Attack, sa virulence militante sera moins démonstrative. Là encore, sa présence elle-même est politique: le «Loner» symbolise une certaine idée de l'authenticité rock depuis que le Canadien (il est citoyen américain depuis 2020) incarna une facette du flower power , en baroudeur électrique au micro de Buffalo Springfield puis du «supergroup» Crosby, Stills, Nash & Young. L'époque était à une certaine idée de la liberté individuelle faite de grands espaces, de sexualité libérée et de dopes légalisées. «Easy Rider» au cinéma, «Ohio» dans les enceintes, première grande chanson folk dégainant ses guitares électriques pour, en 1970, convoquer nommément le président Nixon au tribunal de l'histoire, après qu'il a fait tirer sur la foule des étudiants en colère. Quatre morts, un hymne. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. La même année qu'«Ohio», Young sort en solo «After the Gold Rush», pour beaucoup son chef-d'œuvre. Là aussi, l'Ouest américain est l'occasion de chansons liant tradition et sujets contemporains – le racisme, la drogue, la destruction des ressources naturelles, déjà. Il s'installe dans un ranch, rassemble un groupe d'outlaws à son image comme on monte un cheval à rodéo, le bien nommé Crazy Horse. Sa musique est celle du rêve américain, fier de ses réalisations, mais conscient de ses limites, de ses démons. En 1985, il ne chante pas contre la faim dans le monde mais en soutien aux petits agriculteurs américains. Il se fera leur porte-voix contre les abus des compagnies pétrolières et critiquera les OGM dans un disque dédié, «The Monsanto Years». Il cible l'impérialisme de George Bush père («Rockin' in the Free World» en 1989) et fils («Let's Impeach the President» en 2006). Défend la réforme d'un système de santé universel sur le modèle canadien. Réclame la reconnaissance des droits des peuples autochtones. Neil Young au festival anglais de Glastonbury, le 28 juin dernier. PA IMAGES VIA GETTY IMAGES Comme Bruce Springsteen, chanter le peuple américain dans une industrie musicale ultracapitaliste est un exercice ambigu. Neil Young a tenté de lui imposer ses règles, avec des passages à vide et des couleuvres à avaler, comme sa valse-hésitation avec Spotify, à qui il a longtemps interdit la diffusion de son catalogue. Quand il refuse à Donald Trump, alors candidat à sa première élection présidentielle en 2015, l'utilisation de «Rockin' in a Free World» durant ses meetings, celui-ci eut beau jeu de lui rappeler que le chanteur était moins bégueule quand il venait lui proposer d'investir dans son service d'écoute en ligne haute résolution, Pono. D'ailleurs, Donald Trump aimait beaucoup la musique de Neil Young! Jusqu'à ce que ce dernier l'aligne sur les réseaux, début 2025, le déclarant «pire président de l'histoire», disant «craindre pour sa sécurité» dans son propre pays. Politique omniprésente Viendra-t-on écouter Neil Young à Montreux comme on va au musée? S'il est une figure tutélaire de la musique poing levée, il sera entouré d'émules plus virulents. Par exemple, Saint Levant, qui sans doute ne citera jamais l'héritage youngien – il n'est même pas certain que le rappeur en ait écouté une seule note – mais dont la musique participe d'une même prise de position politique. Né à Jérusalem, d'ascendance palestinienne, française et algérienne, Marwan Abdelhamid a passé une partie de sa jeunesse à Gaza avant de rejoindre les États-Unis. Métis dans son parcours, il l'est aussi dans sa musique, mêlant rap, electro, R'n'B et folklore arabe. Et ses concerts, surtout depuis le pilonnement israélien sur Gaza, sont devenus autant de tribunes en faveur de la Palestine. Sur une photo de presse, il tient un sax comme une kalach: la prestation de Saint Levant, le 16 juillet au Casino, sera abrasive. Un cran en dessous, les revendications sociétales innervent l'ensemble des musiques contemporaines comme un viatique indispensable. Conviction sincère ou argument marketing obligé, les questions de genres, de race et d'environnement dessinent un soft power dont le MJF se fait vitrine. Quelle en sera la dose dans le concert d'Iseult? La chanteuse française, vainqueure de la «Nouvelle Star», s'est fait chantre des minorités en lutte contre la grossophobie et le racisme, l'un et l'autre systémiques – mais ses origines sociales plus que privilégiées et un solide contrat avec l'Oréal ont fait du mal à sa crédibilité. Les deux thématiques devraient néanmoins vêtir son concert, le 12 juillet, avant Grace Jones, vraie figure d'émancipation black et féminine. Féminisme et festival Les bannières seront sans doute absentes des concerts de Jad, Raye, FKA Twigs et Nathy Peluso, dont les thématiques féministes innervent plutôt les chansons. La Française Solann, révélation de la musique 2025 à découvrir au Casino le 9 juillet, est plus frontale: sa chanson «Rome», long cri où elle imagine la ville antique née d'une chienne plutôt que d'une louve, a secoué les conventions. L'américaine Brandi Carlile s'est affirmée en figure LGBT de l'année dans son duo très médiatisé avec Elton John. Yoa, qui jouera avant Saint Levant, chante la santé mentale et les troubles alimentaires… Hormis au concert de Diana Ross, et encore, vous n'échapperez pas aux sujets de société. Surtout pas le 18 juillet. On l'aurait presque oublié, tant son engagement fut davantage symbolique qu'explicite, mais quand même… Santana sera là, et avec lui le souvenir d'un autre festival: Woodstock! Au MJF comme ailleurs, le politique est partout, il suffit de le cueillir. Plus de Montreux Jazz François Barras est journaliste à la rubrique culturelle. Depuis mars 2000, il raconte notamment les musiques actuelles, passées et pourquoi pas futures. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


Le Figaro
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Nouvelle-Zélande-France : Jordan serial marqueur, la bête Guillard, Slimani au supplice, le «karma» des All Blacks... Les tops/flops
À l'issue du revers du XV de France samedi à Dunedin face aux All Blacks, pour le compte du premier match de la tournée estivale, découvrez ce qui a plu... et déplu à la rédaction du Figaro. TOPS Will Jordan, serial marqueur Où s'arrêtera-t-il ? Le phénomène néo-zélandais, toujours aussi véloce et intenable, a, de nouveau, fait parler sa redoutable explosivité face aux Bleus. Auteur d'un doublé (19e, 47e), l'arrière des All Blacks cumule désormais 40 essais inscrits en... 42 sélections. Le joueur de 27 ans s'impose toujours un peu plus comme l'un des cadres de son équipe, dont il est une des armes principales. Insatiable. Publicité Les frères Barrett étaient déchaînés Dans un bon jour, ces trois-là font mal. Très mal. La fratrie Barrett, alignée d'entrée, a eu son mot à dire sur le sort du match. Le centre Jordie a inscrit un essai, juste avant la pause (39e), pendant que l'ouvreur Beauden accumulait les points au pied (11 points) et que Scott, capitaine et deuxième ligne féroce, se voyait refuser un essai. Une probante activité de la part des trois All Blacks, toujours au rendez-vous. La bête Mickaël Guillard Comme analysé dans nos colonnes, le troisième ligne a livré un match (plus que) plein. En l'absence de Grégory Alldritt et d'Anthony Jelonch, le n°8 des Bleus a signé une prestation de grande classe, en aplatissant, notamment, le premier essai des siens (17e), tout en puissance. Plaquages, charges, franchissements, retour salvateur... Tout y est. Un potentiel énorme. Théo Attissogbe ne s'est pas caché L'arrière français a démontré, une nouvelle fois, son immense talent. Très présent dans les airs, le Palois a été le détonateur du premier essai de son équipe, à l'impulsion grâce à une percée dont lui seul a le secret. Présent également défensivement. Un match complet de sa part. Le feu follet béarnais continu de monter en puissance, encore et encore. Alexandre Fischer resplendissant Quel volume de jeu. Une activité débordante. 20 plaquages pour un seul raté au compteur et a fait parler sa spécialité du grattage. Souverain au sol lors d'une des dernières actions chaudes de la partie (69e). Le néo-Bayonnais n'a pas fait dans le détail. À lire aussi XV de France : le bulldozer Guillard, les éclairs d'Attissogbe... Les notes des Bleus après la courte défaite face aux All Blacks Gabin Villière, mi-figue... Un match contrasté. En difficulté défensivement, le trois-quarts aile toulonnais s'est illustré par un essai, au retour des vestiaires (43e), mais a également plombé son équipe. Publicité FLOPS ... Mi-raisin Le Toulonnais — déjà fautif sur deux des quatre essais néo-zélandais — a récolté un carton jaune (sévère), à la suite d'un en-avant volontaire (56e), mettant les Bleus en grande difficulté pendant dix minutes. Pour l'un des cadres de ce jeune XV de France, on peut attendre un peu mieux de la part du Varois de 30 ans. Rabah Slimani, merci mais stop À 35 ans, pour son retour en équipe de France, le pilier du Leinster a coulé inexorablement au fur et à mesure des minutes. Limité physiquement par son âge (35 ans), l'ancien Clermontois semblait impuissant et perdu sur la pelouse, à certains moments. Auteur de seulement cinq plaquages réussis sur huit, le vétéran a logiquement cédé sa place à Régis Montagne, dès la reprise (48e). À ce niveau-là, c'est désormais très compliqué pour Slimani qui parait plus au supplice que véritablement utile sur le terrain. Le «karma» des All Blacks La presse néo-zélandaise, prétentieuse et pompeuse, qui voyait ces Bleus remaniés se faire étriller par les All Blacks, ne peut que se mordre les doigts ! Reprochant à Fabien Galthié de ne pas emmener avec lui l'ensemble de ses cadres et de ses meilleurs joueurs pour cette tournée, a reçu la réponse qu'elle méritait. Rien de glorieux pour les joueurs en noir qui ont eu toutes les peines du monde à dominer cette jeune équipe de France, qui leur posera, sans doute, encore des problèmes pour les deux derniers matches de cette tournée.